bonjour à tous et merci Flattwin d'être venu apporter ton expérience!
Alors voilà je suis de retour et je crois que je vais péter une durite!!
Enfin, faut surtout que je relise ma signature plusieurs fois parce que là rien ne va plus!
Déjà pour répondre aux interrogations d'Isatis: j'ai d'abord essayer de faire une couche fine mais déjà l'aspect était pas top (comme un peu terne et sableux), et j'ai après essayer de charger un peu plus pour faire une couche plus grasse qui elle était plus brillante mais avec cette peau d'orange...
(je crois d'ailleur que c'était pas la solution de faire ces deux couche et je crois que si on à pas assez charger dès le premier passage c'est un peu mort...
Bon bref,
Cette aprèm je reprend ce moule de misère, le papier de verre, 2 boites de courage, 1 litre d'huile de coude et une palette de bonne humeur...)
D'abors, chouette! Après là nuit et le matin dans l'étuve à 22°C, la PU a toujours sa peau d'orange mais elle est bien polymérisé et bien dur...(faut voir le bon coté des choses...)
Voilà les toffs:
Pas de quoi être fière quand même...
Alors j'attaque les plus grosse merdouille à sec au 320 puis je passe au 800 à l'eau...
Déjà on sent qu'on ponce plus du novapret...
ça se ponce mais c'est quand même coriace et le litre d'huile de coude risque de pas suffir...
2 bonnes heures de boulot quand même et envolé la peau d'orange...
Ensuite passage au 1200...
houaouu, le poignet à chaud mais c'est carrément clean et ça fait plaisir de revoir le moule dans cette état...
Là, je ressort la balance, les produit, le pétard, le masque et je re-prépare 25g de base + 6.25g de durcisseur + 6.5g de diluant
Comme le dit flattwin, c'est un peu la merde avec les pour cent mais je pense pas faire d'erreur au vu le données indiqué par l'hippo (100g de base pour 25g de durcisseur, si je divise les proportion par 4, ça doit bien correspondre avec ce que j'ai fait...)
Pour le diluant, vu qu'on sait pas trop si c'est en masse ou en volume, c'est un peu au pifomètre pour commencer.
Bon il fait super beau dehors (19°C, pas de vent, hygrométrie 53% relatif selon la météo), pour éviter la poussière de l'atelier, je m'installe sur la terrasse en béton que je nettoie bien, je souffle et je met des carton propre au sol
Et la j'ai tout éssayer pression de 1.5 à 7 bar, j'ai augmenter la dilution, proche du sopport, plus éloigné, débit de peinture faible, plus important, avancer doucement, rapidement, bref...tout...mais malgré ça j'ai jamais pu trouver le réglage miraculeux...même si il y a du mieux
J'ai quand même décider de passer au moule et résultat ...boff, toujours peau d'orange même si c'est beaucoup moins important qu'avant.
Je vous envoie les photos dès que possible.
Alors voilà, j'en déduit que soit Isatis à raison et que le pétard ne va pas, soit celui qui le tien est un branquignol, ou alors, le plus plausible...les 2 à la fois
Savoir travailler la résine est une chose, mais l'art du pistolage en est une autre et je crains que ce soit finalement (et je le regrette), au dessus de mes capacité y compris en terme de matériel.
(Pourtant j'avais repeint ma mobylette il y a quelque année avec un pistolet à 2 balle "outiror", bol en dessous avec de la PU qu'un carrosier m'avait détaillé et le résultat était nickel...)
Voyant que je n'arriverais jamais à faire une couche de laque parfaite, je me dit qu'il y a peu être moyen de travailler cette laque au papier, jusqu'à la faire briller comme si j'avais voulu travailler sur le novapret ou le gel-coat sans l'option "PU"...
Quant pensez vous?
Le courage et la persévérance ont un talisman magique devant lequel les difficultés disparaissent et les obstacles s'évaporent. [John Quincy Adams]