bzh56 a écrit :
Bon sang

!!!! On m'aurait menti !!!! ,

Non bien sur .....je vous confirme que c'est bien une derive ( relevable ) que j'ai sur mon bateau comme vous pouvez le voir sur la photo jointe , et non une quille . A votre décharge le Kelt 707 est un des rares deriveur lesté a etre equipé d'une vrai derive massive profilée possedant de reelles qualité hydrodynamique ,et non une simple tole en acier

.
Ben… vous pouviez pas le dire plus tôt

nom d'une pipe, je l'avais oublié le Kelt

un bon p'tit voilier bien vaillant !
bzh56 a écrit : mais de lui eviter de se pourrir de concretions et faciliter son nettoyage pour la garder "clean" et lui conserver ses qualités hydrodynamique .
Ah d'accord ; il faudra néanmoins y filer un coup de sous-marine parce que l'époxy ne pourra pas refouler les salissures
bzh56 a écrit : Que pouvez vous me conseiller comme resine époxy ? en existe t il des diferente dureté ?
Différentes duretés non, pas dans la gamme des produits accessibles aux particuliers. La résine standard 580 devrait suffire, vous n'avez pas besoin de transparence et son temps de vie en pot est assez long pour vous permettre de faire du bon travail de débullage.
Selon ce que vous décidez comme méthode, je vous proposerai les tissus ou charges possibles.
A mon avis, ça serait tissus de silionne en deux couches croisées : le plus fin si vous avez peu de marge dans le puits, le plus simple à appliquer et le moins onéreux.
L'inconvénient majeur c'est qu'il faut que toute la dérive soit bien "emballée" par le tissu et ça je ne sais pas si vous allez pouvoir le faire notamment au niveau des attaches. Avec un mastic ça sera pareil. La moindre infiltration d'eau provoquera à terme l'oxydation du métal et le décollement progressif de quelque matériau appliqué que ce soit.
Il faut être très soigneux sur la préparation de la dérive et sur la préparation des mélanges des deux parts A et B de résine, l'époxy ne supporte pas les approximations de dosage. Il faut travailler dans un endroit sec entre 18° et 20° et laisser polymériser 15 jours avant la remise à l'eau. Hélas pas moyen de faire ça entre deux marées.
Pour la préparation de la dérive, c'est grattage-nettoyage-ponçage-séchage parfaits puis juste avant d'attaquer le boulot un généreux passage de chiffon non pelucheux avec de l'alcool à brûler pour bien éliminer toute oxydation et poussières.